Car pour agir, un gouvernement a besoin d’un programme clair mais aussi de financements et d’une majorité. Michel Barnier a présenté la première stratégie pluriannuelle de l’État sur le financement de la transition écologique. Et les mots qu’il a choisi d’employer – ceux de « dette écologique » mis en parallèle avec la « dette budgétaire » – semblent afficher une lucidité volontariste. À lire aussi Budget 2025 : la transition écologique à la dièteLe plus compliqué commence maintenant, avec la traduction nécessaire dans le prochain budget. Quoi qu’en dise pourtant Henri Queuille, les absences de décision n’ont rien résolu dans le passé.
Source: La Croix October 13, 2024 17:40 UTC