Le Figaro ne s’en sort pas si mal ! Depuis plusieurs années maintenant, la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) a dans le collimateur la façon dont le quotidien gère certaines données à caractère personnel de ses lecteurs. Lors de ces vérifications, les agents constataient eux aussi ces dépôts, même lorsque l’internaute avait exprimé son refus. Mais un deuxième volet restait jusqu’à présent en souffrance : celui relatif aux transferts de données à caractère personnel vers les États-Unis, lui aussi épinglé par l’auteure de la plainte dans un second courrier datant de 2019. La CNIL vient une nouvelle fois de sermonner l’éditeur, mais cette fois, le quotidien peut s’estimer heureux : aucune sanction financière n’a été décidée.
Source: Le Figaro June 14, 2024 13:09 UTC