Ces prix définissent le montant que les opérateurs dans les différents pays peuvent s’imposer mutuellement pour l’utilisation de leurs réseaux. Dès novembre 2015, un règlement stipulait un « objectif stratégique visant à ce que la différence entre les tarifs d’itinérance et les tarifs nationaux se rapproche de zéro ». Il était important de trouver un tarif assez élevé pour que les opérateurs puissent continuer à investir dans les réseaux. Mais il ne devait pas être trop élevé pour ne pas risquer de voir des augmentations des tarifs locaux dans certains États. »Elle salue une « bonne nouvelle, concrète, palpable » venue de Bruxelles, notamment pour les étudiants qui profitent du programme Erasmus ou pour les travailleurs transfrontaliers.
Source: La Croix February 01, 2017 15:08 UTC