Le fonds souverain australien attentiste après l’élection de Donald Trump et les risques de protectionnisme accru et de « démondialisation ». A cet égard, Peter Costello a estimé que « la croissance mondiale future ne sera pas compatible avec ces rendements élevés ». A la différence de la plupart des autres fonds souverains, le fonds ne gère pas son argent lui-même mais en délègue l'intégralité de la gestion à des gérants externes. Une chance que n'ont pas eu la plupart des fonds d'investissement étatiques , tel celui de la Norvège (-23,3% en 2008). Le fonds est pratiquement assuré que son Etat ne puisse pas puiser dans ses caisses avant 2020.
Source: Les Echos February 01, 2017 14:49 UTC