Aujourd'hui, si elle se retrouve à la Nuitée, c'est à cause de son conjoint, violent. • © Perrine Roguet - France TélévisionsEntre femmes, les résidentes font bloc "elles partent souvent en s'étant fait des meilleures amies" affirme Hanane, avec beaucoup d'entrain. "Ils restent aussi souvent plus longtemps à la rue, et la violence est très présente" explique Soraya. Ici, chaque résidente donne un euro par jour, si elle le peut "et souvent, elles sont contentes de pouvoir participer. "On ne sait pas où elles atterrissent, si elles sont à la rue, ou retournées chez leur bourreau".

Source: L'Humanite October 13, 2024 15:30 UTC