Publié le 16 oct. 2020 à 16:00Un revers, prévisible, pour l'administration Trump dans le dossier du nucléaire iranien. Cet accord prévoyait en effet que Téhéran gèle son programme nucléaire en échange d'une levée progressive des sanctions internationales. Il ne tient toutefois plus qu'à un fil , puisque Téhéran s'est affranchi de certaines de ses contraintes en matière d'enrichissement d'uranium, en représailles à la décision de Donald Trump. Cette convergence entre Européens face à Trump n'allait pourtant pas de soi pour Londres, « en plein Brexit et qui entretient une relation spéciale, pour raisons historiques, avec Washington », souligne Sanam Vakil, du think tank Chatham House. D'ailleurs, l'an passé, les principaux fournisseurs de l'Iran étaient la Chine, la Turquie et les Emirats arabes unis ».
Source: Les Echos October 16, 2020 13:52 UTC