Des compromis gagnantsLa France est prête à d’importantes concessions pour convaincre des pays dits « frugaux » à accepter ce principe d’un endettement commun. Ces décotes que Paris voulait supprimer devraient donc rester malgré le départ du Royaume-Uni, pays inventeur de ce mécanisme compensatoire. La France gagne quand Berlin s’intéresse à la continuation de l’Europe et de la zone euro. »Promesse de taux basÀ regarder le plan de relance proposé par la Commission européenne dans le détail, la France est loin d’être laissée pour compte. Il faut en effet distinguer la part de subventions (500 milliards d’euros) de la partie consacrée aux prêts (250 milliards).
Source: La Croix July 16, 2020 15:56 UTC