Il y a un an, pourtant, elle avait peur de mourir dans son sommeil tellement elle était affaiblie. Après une journée de travail pour une chaîne de télévision, elle était incapable de gravir les escaliers de son appartement à Southfields. «Je ne savais pas si je serai encore vivante le lendemain matin. Mais je me disais que si je devais mourir à Wimbledon, je l'accepterai.»Bartoli explique ensuite que c'est dans sa victoire sur le gazon anglais, en 2013, qu'elle a trouvé la force de s'en sortir. Hospitalisée à Paris, où elle était nourrie par perfusion, elle était trop fatiguée pour regarder un film dans son intégralité.
Source: L'Equipe July 03, 2017 09:22 UTC