Les mouvements pro-palestiniens ont mis en lumière un activisme très présent dans les facultés romandes et des enseignants de plus en plus politisés. Enquête«Vous me demandez s’il n’y a que des profs de gauche à l’université? Il y en a beaucoup d’extrême gauche aussi.» Cette boutade du député vaudois vert’libéral David Vogel résume le sentiment d’une partie de l’opinion. Au point que l’élu songe à déposer un texte réclamant d’engager des profs de toutes les obédiences politiques, un genre de formule magique académique. Depuis quelques semaines, l’activisme d’une minorité d’étudiants sur le conflit israélo-palestinien a éclairé l’université d’une lumière crue.
Source: Le Temps June 01, 2024 10:45 UTC