Provocateur alliant l’humour à la mélancolie, Maurizio Cattelan expose à la Monnaie de Paris et s’explique sur son rapport à l’iconographie religieuse. Mon rapport à la religion n’existe pas en tant que tel, c’est plus un rapport à la vie, à la mort, à l’ironie du sort. Et c’est finalement peut-être ça l’idée principale : toutes les œuvres présentes à la Monnaie de Paris manquent d’amour. –––––––––––––► Maurizio Cattelan, un scénario très bien construitCinq ans après sa rétrospective « All » au Guggenheim de New York, Maurizio Cattelan revient avec une vingtaine d’œuvres à la Monnaie de Paris (1). On constate la grande cohérence de son œuvre, hantée par la mort, le mal et la dualité humaine.
Source: La Croix October 25, 2016 05:03 UTC