De la rencontre entre Donald Trump et Theresa May le vendredi 28 janvier, les Européens n’ont gardé qu’une seule image, inattendue et étonnante : la main de la première ministre britannique glissée dans celle du milliardaire républicain, pour qui le Brexit – la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne (UE) – est « une chose merveilleuse ». Des craintes que Michel Barnier, chargé par la Commission de conduire les pourparlers avec le Royaume-Uni, aurait clairement exprimées à ses équipes avant la rencontre entre Theresa May et Donald Trump. > Lire aussi : Donald Trump et Theresa May, accords et désaccordsQuelle différence entre « discussions » et « négociations » ? Tu préfères vraiment t’allier avec Trump et Erdogan qu’avec Angela Merkel ? » Et c’est la pression de l’opinion qui a poussé la nouvelle « dame de fer » à finalement faire part de ses doutes quant à la politique migratoire de Donald Trump.
Source: La Croix January 29, 2017 14:58 UTC