En France ce sont les organisations interprofessionnelles qui sont à la manoeuvre en s'appuyant sur l'Institut national de la recherche agronomique (Inra), la fédération des centres d'insémination, et l'Institut de l'élevage (Idele). Ce réseau permet d'identifier les animaux, de collecter les informations sur les performances et la généalogie, et aujourd'hui l'ADN des animaux. "Toutes ces données sont stockées puis traitées pour voir quelle part des performances va être transmissible à la génération suivante de bovins. Au Gaec des Grilles, dans l'Orne, "la génétique est devenue un vrai atelier, à côté du lait et des céréales. Aujourd'hui "la tendance est à la hausse de la variabilité et à la réduction de la consanguinité", assure M. Cètre.
Source: La Croix February 28, 2017 09:53 UTC