Sur la soixantaine de malheureux, seuls huit furent sauvés, quinze ans plus tard ! À quelque mois de la présidentielle, le sort de la petite île pourrait bien devenir un encombrant symbole. Ni la France, ni l’île Maurice ne renoncent à leurs droits, mais elles ont décidé par cette cogestion d’avancer sur des questions concrètes, comme les fouilles archéologiques. Si cet accord n’aboutit pas, l’île Maurice va probablement réclamer un arbitrage à la Cour pénale de La Haye. Lorsque le Royaume-Uni a accordé l’indépendance à l’île Maurice, en 1968, l’îlot aurait dû revenir dans le giron mauricien.
Source: La Croix January 17, 2017 09:38 UTC