ZOOM Mariano Rajoy devant le parlement espagnol le 30 août 2016 à Madrid.. / Francisco Seco/ApAprès huit mois sans gouvernement, l’Espagne s’attend encore à une longue période de flottement politique. « La culture de négociation est totalement étrangère à la classe politique espagnole », poursuit Gabriel Colomé. Restent encore deux hypothèses qui ne sont pas sur la table pour le moment. À moins que, scénario improbable, les partis politiques s’accordent pour laisser le pouvoir à un gouvernement indépendant. Marie Verdier(1) 13,5 millions d’électeurs ont voté pour ces trois partis, contre 7,9 millions pour le PP en juin 2016.
Source: La Croix August 30, 2016 15:33 UTC