Et pourtant, ni les syndicats ni les partis de gauche n’en bénéficient. Selon toute apparence, Emmanuel Macron et le gouvernement d’Édouard Philippe se trouvent donc dans une situation relativement facile à gérer. Il est frappant de voir combien la grève à la SNCF n’a pas le même effet d’entraînement qu’en 1995. La majorité des Français la désapprouve. C’est à cela que pourrait s’employer la semaine prochaine le premier ministre en recevant les acteurs du conflit ferroviaire.
Source: La Croix May 01, 2018 16:07 UTC