Le pouvoir algérien pousse une nouvelle candidature en 2019 d'un président muré dans le silence et en fauteuil roulant. À Alger«Le quatrième mandat devait être le mandat du grand nettoyage: le président voulait laver son nom de toutes les affaires de corruption qui ont éclaboussé sa famille. Malheureusement, les forces de l'argent n'ont jamais été aussi puissantes et malfaisantes. Alors oui, le chef de l'État aura besoin d'un cinquième mandat…»Dans l'entourage extrêmement restreint qui gravite désormais autour d'Abdelaziz Bouteflika, on fait peu de mystère du scénario qui se dessine pour la prochaine présidentielle d'avril 2019, même si l'état de santé du chef de l'État reste un sujet d'inquiétude. «Le ministre des Affaires étrangères à Paris pour vendre un cinquième mandat, des scribes de la présidence qui s'expriment dans les médias pro-pouvoir, de ...
Source: Le Figaro May 01, 2018 15:45 UTC