François-Henri Désérable : Ça s’est vraiment passé comme je le raconte dans le livre. François-Henri Désérable : Le but était vraiment de faire une enquête, à la manière de Patrick Modiano avec Dora Bruder ». François-Henri Désérable : Ce qui me fascinait vraiment était la porosité de la frontière entre le réel et la fiction. Je raconte que des lettres en Yiddish réapparaissent à la faveur du temps et de la peinture. Or ni les nazis ni le temps n’ont réussi à les effacer car des écrivains les ont sauvés de l’oubli.
Source: L'Humanite September 21, 2017 08:06 UTC