L’audience avait été déplacée, à la demande des avocats, dans une salle légèrement plus grande, la 16e chambre correctionnelle. Et les policiers postés devant sa porte ont exfiltré quelques jeunes venus soutenir les prévenus. Piégée sur les vidéos par sa tenue vestimentaire et les tatouages de ses avant-bras, elle a été rapidement interpellée et incarcérée. Le président du tribunal l’a alors interrogé sur cette « disjonction » entre ses paroles et les faits qui lui sont reprochés. « J’ai oublié que derrière l’uniforme, il y a la personne » et il a reconnu une « erreur morale ».
Source: La Croix September 21, 2017 07:52 UTC