« Sans action de notre part, cette échéance aurait pu remettre en cause notre équilibre financier en alourdissant nos ratios et en pesant sur notre trésorerie », explique son directeur général, Michel Hochard. Pis, en cas de nouveau plongeon du baril de brut en dessous des 50 dollars, le groupe « aurait pu rencontrer de réelles difficultés », reconnaît le dirigeant. Afin de ne pas se retrouver au pied du mur, contraint à renégocier un endettement dans une position peu favorable face à ses créanciers, Maurel & Prom a décidé de prendre les devants. Là encore, les échéances de remboursement sont échelonnées en 17 tranches trimestrielles déclenchables à compter du mois de décembre 2020. « Avec le très bon niveau de signature dont bénéficie notre actionnaire, cet apport est réellement significatif, souligne le directeur général.
Source: Les Echos January 15, 2018 06:07 UTC