Lire la chronique de dernière page de La Croix est toujours un grand bonheur. La découverte de l’auteur et du sujet traité est à chaque fois une surprise. Philippe Delerm aurait pu en faire un sujet de son opuscule La Première Gorgée de bière… et autres plaisirs minuscules. S’agissant de la chronique de Valentine Goby, « Le grand-angle et la loupe », du jeudi 6 octobre, elle dit que ce qui la touche « dans le rapport du roman à l’histoire : c’est l’idée d’un dialogue entre la fresque et le frôlement de l’intime ». Je vais donc m’empresser de lire, sur ses conseils, le Victor Hugo, le Danton et le Churchill de Hugo Boris (Trois grands fauves).
Source: La Croix November 07, 2016 10:32 UTC