Les entreprises pouvant connaître des difficultés de recrutement, elles ont tendance à pousser à la hausse les rémunérations, soit pour attirer des talents, soit pour les conserver. Cela s’observe en particulier dans le domaine de l’informatique et dans les fonctions commerciales. Cette évolution, mesurée par une étude annuelle d’Expectra-Randstad, attire l’attention sur la variété des taux de chômage dans la population active. Ils ont sans aucun doute une conscience intellectuelle forte des dégâts du chômage dans la société. Dans une société où le chômage est à plusieurs vitesses, il y a un risque : que ce fléau ne soit pas suffisamment pris à cœur par ceux qui y échappent.
Source: La Croix August 29, 2016 16:30 UTC