Trois mois après le démantèlement du camp, quelques centaines de migrants, essentiellement des mineurs, sont revenues dans la ville. « On voit aussi des gens qui étaient partis pendant le démantèlement et qui reviennent et des primo-arrivants », précise François Guennoc, un des responsables de l’Auberge des migrants. A lire aussi : Débat sur l’âge des mineurs de Calais en Angleterre« La police nous fait beaucoup souffrir. Trois choses ont été annoncées :– Pas de structure à Calais « afin de ne pas en faire un point de fixation ». – Ouverture d’un nouveau CAO (centre d’accueil et d’orientation) pour adultes dans le département du Pas de Calais et renforcement des capacités d’hébergement dans la région des Hauts de France.

Source: La Croix February 01, 2017 17:27 UTC