Ils seront complétés des « tests d’émission des véhicules en condition de conduite réelle » (RDE). Cela permettra « d’obtenir des résultats plus fiables et de restaurer la confiance dans les performances des nouvelles voitures », souligne la Commission européenne dans un communiqué. Le scandale des émissions a montré que nous avons besoin de davantage d’indépendance dans les tests des voitures, une surveillance de marché plus forte et la possibilité pour la Commission d’intervenir en cas d’abus. Ils ont simplement concédé le fait de procéder à des audits croisés entre régulateurs nationaux. Des négociations se poursuivront dans les semaines à venir entre la Commission, le Parlement et les États.
Source: La Croix September 01, 2017 15:00 UTC