Depuis, les Argentins se mobilisent car ils y voient un modus operandi rappelant les sombres heures de la dictature. Le sort de la plupart des disparus de la dictature étant toujours inconnu, c'est un sujet sensible en Argentine, une plaie béante. -Les Mères de la Place de Mai, mobilisées depuis 40 ans pour dénoncer la disparition de leurs enfants durant la dictature (1976-1983) se sont jointes au mouvement de protestation. - Pression internationale -Les Nations unies, Amnesty International et la Commission interaméricaine des droits de l'Homme (CIDH) de l'OEA se sont émues de l'affaire. Le sélectionneur de l'équipe argentine de football, qui équivaut en Argentine à un poste de ministre, a mis son grain de sel.
Source: La Croix September 01, 2017 08:48 UTC