François Fillon a été très pugnace, violent dans ses attaques, mais plutôt envers les médias ou la justice. De la même manière Mélenchon a pu dénoncer en des termes très forts l'Europe ou la «médiacratie». À l'inverse, l'entre-deux-tours a été d'une grande brutalité, le summum étant le débat entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron. Par rapport à 2012, la configuration n'était pas tout à fait la même. Cette année, il n'y a pas eu un point de programme, pas un thème qui ait concentré les analyses ou les critiques.
Source: Le Figaro May 10, 2017 04:07 UTC