En 1977, tout juste auréolé du succès de son premier film, « Les Duellistes », le jeune réalisateur découvre « Star Wars ». Seul être « vivant » à bord, l'androïde Walter, chargé de surveiller le bon déroulé de l'opération et de réveiller les passagers le cas échéant. A Walter d'y incarner le bien face à son « frère » David, la figure presque biblique du mal absolu. Cela dit, les spectateurs déçus de la présence trop rare de l'alien dans « Prometheus » seront heureux de plonger à nouveau dans l'horreur. Car le cinéaste renoue avec son sens aigu du suspense, mais surtout avec son tropisme pour le cinéma gore.
Source: Les Echos May 10, 2017 03:27 UTC