C’est la question que beaucoup d’actifs se posent, à la veille de la journée de grève nationale de ce jeudi 18 septembre, qui devrait particulièrement perturber les transports. Marie-Noëlle, technicienne de surface dans un hôtel parisien, sait déjà que la journée de jeudi va être «un enfer». Je vais dormir chez une amie pour éviter le bus et le RER que je prends tous les matins», indique-t-elle. Il dit être «dans l’attente d’un avis de la SNCF» quant au maintien de son train. «Ça ne va pas être la même chose», prévoit un agent de la RATP questionné dans les couloirs du métro parisien.
Source: Le Figaro September 17, 2025 17:07 UTC