« 20 personnes sont parties rien que les deux derniers mois, on va pas tarder à débrayer aussi pour ça ! Les salariés n’en peuvent plus de leur charge de travail, on a de plus en plus d’accidents du travail », déplore la salariée du rayon charcuterie-fromage à la découpe. « On a été suivis par les CRS, on est rentrés chez nous très tard, mais c’est pas grave ! Je gagne 1 200 euros par mois, c’est déjà la misère, on va avoir combien avec leur réforme ? Beaucoup de caissières ont des troubles musculo-squelettiques, certains salariés sont suivis auprès de la maison départementale des personnes h andicapées (MDPH).
Source: L'Humanite December 10, 2019 18:22 UTC