AFPÉric Woerth, président (LR) de la commission des Finances de l’Assemblée nationale, dresse "un bilan pour le moins mitigé" de la session du Parlement qui s'achève mercredi, dénonçant "une volonté assez claire du président de la République d’affaiblissement du Parlement". "Nous n’appartenons pas à deux catégories : la vieille politique ou la nouvelle politique. Ce discours, c’est du néo-poujadisme", affirme-t-il, y voyant derrière "une volonté assez claire du président de la République d’affaiblissement du Parlement". C’est un metteur en forme des décisions du président, de son cabinet et de la technostructure qui entoure Emmanuel Macron". Selon lui, "la priorité" du président en le nommant à Matignon, "c’était de casser la droite".
Source: La Croix August 05, 2017 23:48 UTC