Ce sont des images atroces, tournées par des riverains en plein cœur de la capitale dans le quartier de Stalingrad dans la nuit du vendredi 20 au samedi 21 mai. On y voit une femme se faisant violer sur la voie publique par un homme dans un état second. Un autre viol perpétré par deux toxicomanes a eu lieu une semaine plus tard. Bizarrement, ces affaires n’ont pas suscité l’indignation qu’elles méritent de la part des milieux féministes. Est-ce parce qu’elle est survenue au cœur d’un quartier rebaptisé «Stalincrack» par ses habitants excédés, où migrants et toxicomanes envahissent l’espace public?
Source: Le Figaro May 27, 2021 17:36 UTC