Pour elle, toutes ces histoires de stupéfiants , enfouies par honte ou par peur, réveillent parfois de lourds traumatismes chez ses patients saisonniers, une fois la saison terminée. Lire aussi le premier épisode (libre d’accès): En station de ski, un rail de coke et ça repartAu commencement, il y a l’alcool. Pour preuve: certains établissements, pourtant ouverts que quelques mois dans l’année, sont classés parmi les premiers débits de boissons en France. Aujourd’hui, les jeunes ne se considèrent pas comme alcooliques puisqu’ils boivent de grosses quantités, qu’une à deux fois par semaine». Pour elle, tout a commencé par les premières «bières de débauche», comme on appelle les pintes avalées au sortir du travail.
Source: Le Temps February 24, 2024 10:55 UTC