«Les cycles d’emploi sont plus courts: les attentes des candidats s'orientent plutôt vers un changement tous les deux ans et non plus tous les cinq ans», rapporte-t-il. «La grande majorité des personnes que nous contactons sont désormais ouvertes à la discussion. Auparavant, les personnes qui venaient de changer d’emploi refusaient d’entrer en matière, atteste Anthony Caffon. L’étude souligne aussi que la moitié des répondants imputent leur recherche d’un nouveau poste à l’absence d’évolution professionnelle. Lire aussi: Pourquoi la Suisse ne connaît pas de «grande démission»
Source: Le Temps June 26, 2023 19:08 UTC