Nicolas Maduro qualifie, lui, l'opposition de "putschiste", surtout depuis l'appel au soulèvement lancé, en vain, par Juan Guaido le 30 avril. De son côté, Nicolas Maduro a affirmé à plusieurs reprises que le dialogue "continuerait" avec l'opposition. L'armée est aussi courtisée par Juan Guaido qu'il appelle à tourner le dos à Nicolas Maduro. Au plan international, le gouvernement vénézuélien est épinglé en raison de la situation des droits de l'homme. Une crise que le gouvernement de Nicolas Maduro met largement sur le compte des sanctions économiques prises par l'administration de Donald Trump.
Source: La Croix July 08, 2019 00:56 UTC