«Les prédateurs ont réduit les populations de nuisibles de 73% en moyenne et augmenté les rendements des cultures de 25% en moyenne», conclut cette méta-analyse. Ils n'ont toutefois pas comparé directement leur efficacité à celle des pesticides de synthèse, qui n'a pas été évaluée dans l'étude. Autre conclusion: le biocontrôle effectué par des espèces multiples de prédateurs n'est pas plus efficace que celui d'une espèce unique. Pour le biocontrôle, la présence de plusieurs espèces de prédateurs permet certes de cibler une diversité de types de nuisibles et ce, à différents stades de leur développement. Mais, d'un autre côté, les prédateurs peuvent entrer en concurrence les uns avec les autres, voir se manger entre eux.
Source: Le Temps March 06, 2024 14:49 UTC