Le secrétaire général de l’ONU redoute en effet que la Libye ne connaisse le même sort que la Syrie. Cet accord pourrait donc relancer l’espoir d’une paix durable dans cette région où les ingérences étrangères attisent une guerre civile qui dure depuis près de dix ans. En effet, les clés d’un règlement de la guerre civile ne se trouvent pas en Libye mais à l’étranger. Guerre d’influenceLe conflit libyen est l’occasion pour plusieurs pays étrangers d’étendre leur influence dans cette région. Pour Moscou, le bourbier libyen permet une nouvelle fois d’affaiblir les Européens, les États-Unis et l’OTAN.
Source: Tribune de Genève January 19, 2020 20:26 UTC