Il était légitime que la France interdise ce service, selon l'avocat général de la Cour de justice européenne. Les pouvoirs publics aussi, au vu de la rudesse du conflit qui avait opposé la société américaine, les particuliers utilisant son service Uberpop et les taxis à l'été 2015. UberPop, lancé en février 2014, était une nouvelle offre permettant aux particuliers de proposer des services de chauffeur, sans licence et sans charge. Pour Uber, il s'agissait de covoiturage. Pour les autorités françaises, il s'agissait d'un service de transport en dehors de tout cadre légal.
Source: Le Figaro July 04, 2017 18:16 UTC