Le premier monument à la mémoire des Tsiganes morts en France durant l’Occupation a été inauguré cet été en Lot-et-Garonne. Ce monument, pour partie financé par la Fondation pour la mémoire de la Shoah, a vu le jour grâce à l’obstination d’Alain Daumas, le président de l’Union française des associations tsiganes (Ufat). À partir du 4 octobre 1940, à la demande des Allemands, tous les Tsiganes de la zone occupée sont parqués dans une trentaine de camps administrés par les autorités françaises. > Lire aussi : JMJ Cracovie 2016 – Jour 5 : Les Tsiganes de France aux JMJLa Libération ne signifie pas pour autant l’élargissement des Tsiganes. Saint-Sixte, Montreuil-Bellay : à petits pas, la mémoire des Tsiganes se fait une place dans l’histoire des années noires.
Source: La Croix August 28, 2016 12:22 UTC