«Un adieu?»Sa famille ignore le lieu de détention de Jamshid Sharmahd et demande aux autorités plus d’efforts pour obtenir sa libération. Début juillet, Jamshid Sharmahd a été autorisé à appeler sa femme, installée également aux Etats-Unis, pour la première fois depuis cinq mois. Il a aussi été autorisé à parler à sa fille à qui il n’avait pas parlé depuis deux ans. Si la plupart des prisonniers étrangers sont détenus à la prison d’Evin à Téhéran, aucune information n’a filtré quant à la présence éventuelle de Jamshid Sharmahd dans cet établissement pénitentiaire. «Quand vous libérez certains otages mais pas tous, c’est une bonne affaire pour l’Iran», a-t-elle déploré, dénonçant un manque de coordination à l’échelle européenne.
Source: Le Temps August 01, 2023 04:01 UTC