En interne, les clivages, portant sur la manière de se tenir dans une société sécularisée, se maintiennent, vifs. D’un côté, une Église qui peine à rendre crédible sa vision globale de l’existence dans une société devenue plurielle et fragmentée. En soubassement, « c’est le rapport à la mort qui représente aujourd’hui le problème majeur de nos sociétés », pointe-t-il. Christoph Theobald en est convaincu, la situation actuelle est un temps de fécondité où « la moisson est abondante ». Sans doute, mais comment éviter alors la confusion entre la foi et un « zélotisme » religieux ?
Source: La Croix September 21, 2017 04:41 UTC