Moi, je propose de faire deux fois moins cher. Le « coup de pouce vélo » mis en place par l’État (un forfait de 50 € pour faire réparer sa bicyclette) y est pour beaucoup. « Le travail au noir est assez présent »Face à cet engouement, le manque de mécaniciens est apparu criant. Le 14 mai, le gouvernement a annoncé la création d’une « Académie des métiers du vélo » destinée à former 500 réparateurs par an. Et conclue : « Si ça a du succès, je me déclarerai en tant qu’autoentrepreneur et j’en ferai mon activité.
Source: La Croix July 18, 2020 05:03 UTC