La professeur Antonia Maro a participé à la restauration de la tombe de Jésus, à Jérusalem, en octobre 2016. Les experts veulent la protéger du mortier qui a été injecté pour remplacer les joints usés d'une vieille maçonnerie. Elle conclut avec philosophie: «C'est une tombe vivante, la tombe du Christ. Il faut simplement admettre que la force avec laquelle l'on croit ou l'on pense, en fait partie». La journaliste française Marie-Armelle Beaulieu, qui a eu l'occasion d'inspecter la tombe une fois ouverte, affirme avoir eu une expérience mystique, alors «qu'il n'y a rien à voir».

Source: Le Figaro March 28, 2017 15:57 UTC