Suite à la catastrophe de Freetown, des bénévoles donnent des sacs d’approvisionnement, le 18 août 2017 à Sierra Leone. / Seyllou/AFPLa pluie, déchaînée, a causé plus de 500 morts, dont au moins un tiers d’enfants, à Freetown, capitale de la Sierra Leone. Trois mille personnes y ont ainsi perdu leur maison, poussées à l’exil dans le centre d’accueil ouvert par les autorités. L’Institut sierra-léonais des sciences géologiques a ainsi soutenu, dans ses premières conclusions, que « ces pluies continues ont saturé le sol des collines surplombant certains quartiers de Freetown ». Depuis le premier appel du président de la Sierra Leone, Ernest Bai Koroma, le 15 août dernier, la communauté internationale intervient progressivement.
Source: La Croix August 30, 2017 14:37 UTC