"Tous unis contre la barbarie", "Je suis Strasbourg", "Nos pensées vont aux victimes", ou "Je suis musulman et je condamne d'une fermeté absolue, ce n'est pas ça l'islam", peut-on lire sur les mots laissés par les passants. Soraya Elbyari, professeur d'espagnol au lycée René-Cassin de Strasbourg reste très marquée par la fusillade qui s'est produite à quelques mètres de là mardi soir. Le maire de la ville Roland Ries souhaitait rouvrir le marché qui reçoit 2 millions de visiteurs chaque année. "Aujourd'hui on a pas mal de visiteurs et les gens sont surpris que le marché de Noël ne soit pas ouvert. Sa femme Sara est plus vindicative: "Je suis triste de ce qui est arrivé à cette ville, mais ça n'atténue pas ma colère.
Source: La Croix December 13, 2018 13:18 UTC