C'est sans doute l'un des passages de son discours les plus commentés : Gabriel Attal exhorte les administrations publiques à mettre en place la semaine en 4 jours. Il y voit un levier d'attractivité, ainsi qu'une réponse aux nouvelles aspirations des travailleurs qui attendent plus de flexibilité et de personnalisation. Ses détracteurs y voient un échec programmé, une proposition sans ambition ni impact, en comparaison à la désormais populaire « semaine de 4 jours ». Mais sans réduction du temps de travail, quelles sont les conséquences réelles de la réorganisation sur 4 jours travaillés vantées par le Premier ministre ? Comment les organisations peuvent-elles s'emparer de cette question pour améliorer les conditions de travail tout en renforçant la qualité du service public ?
Source: Les Echos February 15, 2024 18:48 UTC