Pour les aider: des technologies produites dans le canton de Zoug par la société Crypto AG – qui n’existe plus – et peut-être même des complicités au sein du Conseil fédéral et de l’administration fédérale. Révélée début février, l’affaire Crypto a fait l’effet d’une bombe. Le Conseil fédéral a dû s’en saisir. Puis, la haute surveillance du parlement, la Délégation des commissions de gestion, a repris et centralisé l’enquête. Le sujet était bien parti pour rythmer l’actualité, mais l’épidémie de coronavirus l’a repoussé à l’arrière-plan de l’attention.
Source: La Liberte April 29, 2020 00:56 UTC