« Les intervenants sont plutôt optimistes et les entreprises gagnent beaucoup d’argent et tout cela est favorable, mais on commence à penser à Mario Draghi et au ‘taper’ et à se demander à quel point cela va peser », nuance-t-il. Ailleurs en Europe, le Footsie londonien et le Dax de la Bourse de Francfort oscillent autour de l’équilibre. Les cours ont été dopés par la contraction plus forte que prévu, la cinquième d’affilée, des stocks de brut aux Etats-Unis la semaine dernière. Toutefois, la Vieille Dame de Threadneedle Street reste confrontée au ralentissement de l’économie britannique, à la stagnation des salaires et à l’accélération de l’inflation. Deux statistiques américaines figurent à l’agenda : les prix à la production d’avril et les inscriptions hebdomadaires au chômage.

Source: Les Echos May 11, 2017 07:07 UTC