Souvent méconnues, même localement, ces radios rassemblent néanmoins un public fidèle, sensible à leur grande proximité et à leur ton parfois novateur. Ces subventions du FSER représentent entre un tiers et la moitié du budget des radios associatives. » La proximité est le mot-clé pour comprendre la place des radios associatives dans le paysage audiovisuel français. > Lire aussi : Nouveaux bouillons de culture« Les radios associatives découlent d’une conquête pour libérer la parole, poursuit Jean-Yves Breteau. Les radios associatives forment également les journalistes et animateurs qui officieront demain sur les grands médias nationaux.
Source: La Croix November 06, 2016 09:59 UTC