Malgré cette fermeture sensible, les États-Unis resteront cette année le principal acteur de la réinstallation des réfugiés sur son sol. L’Union européenne a vivement critiqué le décret de Donald Trump fermant l’entrée des États-Unis à des ressortissants de pays à majorité musulmane. / Hassan Ammar/APL’UE est en alerte maximale sur le décret signé par Donald Trump interdisant l’entrée aux États-Unis à tous les réfugiés, quelle que soit leur origine, pendant 120 jours et sans limite de temps pour les réfugiés syriens. Selon lui, l’UE « n’est pas bien placée pour donner son avis sur les choix des autres. « Pour maintenir les 50 000 personnes accueillies, les États-Unis devront certainement mettre d’avantage l’accent sur les pays asiatiques ou africains », explique Matthieu Tardis, spécialiste de l’asile à l’Ifri.
Source: La Croix January 31, 2017 12:36 UTC