Elle sait que la réorientation, désormais souvent présentée comme un «passage obligé» dans une vie, est loin d’être toujours une évidence. Mais Emilie est de plus en plus triste au travail. «Je m’enfermais»«J’ai réalisé que je m’enfermais et que je ne pourrais plus bouger si je continuais à un poste aussi spécifique. Le marché du travail suisse dispose d’un excellent système d’apprentissage et de diplômes pour instruire et former les gens à des professions spécifiques. Elle envisage de laisser tomber sa réorientation et de continuer à écrire comme activité annexe.

Source: Le Temps June 23, 2022 23:10 UTC