Cette présidentielle est à ce point effondrée : pourquoi faudrait-il en rajouter ici à propos des engagements des primaires, non tenus à droite et à gauche ? A condition que les règles soient respectées, les primaires devaient donc être un puissant facteur d ‘unité, de rassemblement. En est-on là aujourd’hui quand on contemple le paysage à droite et à gauche ? Les leçons de la présidentielle 2007 quand les barons socialistes, éliminés à la primaire, avaient torpillé la candidature de Ségolène Royal ont été très vite oubliées. Au final, ne trouvent de vertus aux primaires que ceux qui les gagnent.
Source: La Croix March 17, 2017 15:45 UTC